Toile coton sur châssis bois, 2 cm d’épaisseur.
Bords noirs (pas besoin d’encadrement).
La toile est vernie en mat, munie d’un crochet
Elle est signée à l’avant (bas gauche). Le titre de la toile ainsi que le tampon officiel sont apposés au dos.
Histoire : des archanges se sont subrepticement introduits dans ce tableau. Je ne les avais pas remarqués au début. Et puis Mickey a pris une auréole et là ! J’ai vu. Quand même. Au début, s’aurait dû être une sorte de BD mais vue la tournure des évènements, le titre s’est imposé.
Parti pris : des couches se superposent : couches de couleurs, couches de symboles et dessins. Le fond bleu est travaillé à l’acrylique au pinceau et à la bombe. Les tonalités bleus, rouges, jaunes se répondent. Le noir vient ensuite organiser l’ensemble dans des cases ou plutôt une structure alvéolaire. Les textes répondent aux grilles de symboles, les dessins aux croquis. Le regard parcourt l’ensemble comme un univers cohérent puis s’introduit dans le détail pour venir y chercher le détail. L’association d’idées peut alors opérer pour permettre au spectateur de s’abandonner au vagabondage. L’imaginaire est aux commandes.
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