L’œuvre intitulée « Maelström » puise sa dynamique dans le mouvement qui est suggéré par les lignes de circulation du couteau sur les couches de peinture successives. L’air, l’eau et la terre se fondent dans cette énergie circulaire qui rappelle la force de Coriolis. Le travail des contrastes apporte l’opposition entre des touches de blanc aérien et des nappes d’un bleu marine foncé presqu’électrique. L’ocre, l’orangé et le jaune représentant la terre se bordent de franges vertes aspirées par le mouvement. Tout se mêle et se prête à la transmutation.